TOUT PRES DE NULLE PART
Tout près de nulle part, j’aimerais m’en aller,
Nous serions deux alors, toi et moi pour rêver,
Seulement une chambre, abritant notre amour,
Et aussi la nature, à voir au petit jour.
J’imagine très bien, cet endroit idyllique,
Où nous ferions ensemble, des songes magnifiques,
Un courant d’air marin, transporterait nos corps,
Vers de doux horizons, pour rêver mieux encore.
La fenêtre entr’ouverte, laisserait voir la mer,
L’air diffusant alors, fragrances de nos chairs,
Par le doux bruit des vagues, nous serions emportés,
Voyage de nos rêves, le vent nous soufflerait.
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Cathy, le 5 Novembre 2010 ©