COMME UNE CARESSE
Eternelle douceur, d’un souffle sur ma peau,
Je ne me lasse pas, de toutes les caresses,
Du vent de poésie, dont j’aime l’allégresse,
Et naturellement, je dépose mes mots.
En se laissant bercer, par cette douce voix,
Ne se souciant pas, de toutes les contraintes,
Ma plume glisse alors, et jamais ne s’éreinte,
Mes écrits sont toujours, le fruit de mes émois.
Fidèle aux ressentis, à mes alexandrins,
Du rythme des sonnets, jamais je ne me plains,
Je ne chercherai pas, à détourner le vent,
Chaque jour il me livre, une pensée nouvelle,
A cette offrande-là, mon encrier consent,
Comme une rose éclot, d’un charme naturel.
-&-&-&-
Cathy, le 8 Février 2013 ©
(image extraite de "Easy4blog")