BRUNO GRÖNING
Mon inspiration, puise toujours sa source,
Dans ce qui m’a troublée, et j’aimerais en prose,
Partager quelquefois, avec vous mes ressources,
Mais j’ai peur d’abimer, cette si belle rose.
J’entame donc ici, un propos délicat,
Le destin de cet homme, que d’aucuns fustigèrent,
Les médecins surtout, menèrent un combat,
Tout ceci se passa, après seconde guerre.
En voulant à tout prix, molécules prescrire,
Ces années- là déjà, souvent laissèrent place,
Aux résignations, malades n’osaient dire,
Que sans rien lui payer, ils avaient trouvé grâce,
En l’homme peu commun, aux pensées positives,
Dont les actes gratuits, opérèrent miracles,
Scientifiquement, cette « aide curative »,
Fut ainsi reconnue, mais ce fut la débâcle.
Des procès engagés, manipulations,
Conduisirent alors, les esprits les plus vils,
A lui prêter bien sûr, pires intentions,
Pour qu’il ne nuise pas, aux médecins serviles.
En l’empêchant d’aider, gratuitement bien sûr,
Sans les médicaments, et son si grand commerce,
Médecine prouva, à quel point il est dur,
D’aider en expliquant, et sans idées perverses.
Ne pouvant plus alors, transmettre son pouvoir,
Dont lui-même disait, « il ne vient pas de moi »,
« Vous l’avez tous en vous, et vous pouvez le voir »,
Il mourut consumé, tout en gardant sa foi.
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Cathy, le 14 Novembre 2011 ©
Il est difficile d'évoquer cet homme en poésie, je ne voulais cependant pas en faire un article trop long. L'occasion m'a été donnée de voir, hier, le film sur la vie de Bruno GRÖNING (que l'on m'a fait découvrir il y a quelques mois). Je l'évoque ici pour vous montrer, surtout, que déjà, dans les années 1940, l'idée même d'une guérison par la force puisée en soi pouvait être fustigée par la médecine. Bruno GRÖNING n'était pas médecin, il ne s'est jamais prétendu "guérisseur", n'a jamais perçu un centime en dépit de tout ce qu'il a apporté à des personnes qui se croyaient atteintes de maux incurables. Il connaissait les limites de ce que la pensée positive pouvait "soigner".
A une personne atteinte de tuberculose il avait bien dit qu'il n'y avait aucune autre ressource possible à son mal, et qu'elle devait poursuivre le traitement prodigué par son médecin. Elle est en effet décédée quelques temps après. La médecine a ainsi profité de ce décès pour engager contre lui un procès, prétendant qu'il l'avait tuée en l'empêchant de se soigner "normalement". Bruno GRÖNING est allé jusqu'au bout de ses forces pour lutter contre ces perfidies et continuer de montrer aux malades le chemin de la guérison. A sa mort, en 1959, il fut découvert que son corps se consumait de l'intérieur depuis qu'on l'obligeait à se taire.
Nul ne fait aujourd'hui "commerce" de cette force qui l'habitait et qui l'habite encore. J'avoue avoir moi-même douté de tout ce que l'on m'en avait dit. Je peux cependant vous assurer que cette découverte a renforcé ma conviction liée à la pensée positive et à la force personnelle pour avancer sur une autre voie... Celle de la confiance en soi et de l'idée qu'une maladie n'est pas là par hasard... Mais tout ne se guérit pas ainsi bien entendu.
Une partie du corps médical tente aujourd'hui encore de considérer cela comme une dérive sectaire. Après toutes les informations que nous recevons sur les pratiques des laboratoires pharmaceutiques et de certains médecins, qui de cet homme ou de la médecine est à "incriminer" ?
C'est gratuitement et sans adhérer à quoi que ce soit que j'ai découvert ce "personnage", je le précise. Pas de "parrainage" non plus...
Recevez cela comme un partage, avec toute liberté de "croire" ou de ne "pas croire" en l'idée générale.
Cathy.