LE PARC AUX ETANGS - ANDERLECHT (BRUXELLES)

Je vous offre quelques photos de ce parc, découvert lors de ma petite pause de lundi... Un endroit charmant dont on n'imagine pas l'existence à Bruxelles. J'y ajoute le "fruit" de mon inspiration.

PETITE « MISE AU VERT »

Comme frêles miroirs, s’offrent quelques étangs,

Aux narcissiques arbres, en ces eaux se pâmant,

Les cygnes et canards, impassibles, paressent,

Ou veulent pavoiser, et ainsi  se redressent.

Quelques bancs semblent dire, « venez donc vous asseoir »,

Comment leur résister, qui pourra m’en vouloir,

Je choisis mon assise, respire les fragrances,

J’admire la verdure, j’écoute le silence.

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                                                                 Cathy, le 13 Août 2012 ©

AUPRES DE MON ARBRE

Au hasard d’une marche, dans d’étroites allées,

Celles d’une réserve, que l’on dit « protégée »,

J’explorais les essences, de cet  espace vert,

Etrange végétal,  j’ai ainsi découvert.

Conquise par sa forme, et sa belle courbure,

Son tronc plutôt étroit, lui donnant fière allure,

J’ai suivi mon instinct, et me suis épanchée,

A l’oreille de l’arbre, tout prêt à m’écouter.

De ma petite voix, toutes mes confidences,

Je lui ai chuchotées, et douce connivence,

S’est alors instaurée, nous nous sommes promis,

De nous revoir souvent, comme de bons amis.

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                                                                              Cathy, le 27 Mai 2012 ©

Il s'agit ici de la réserve naturelle de "Zavelenberg" (traduction : "Montagne de sable").

Elle est située à 5 kilomètres à peine du centre de Bruxelles. Je l'ai découverte dimanche lors d'une promenade et cet arbre, situé au détour d'un chemin, m'a fortement inspirée.

Ci-dessous, la vue depuis la route. Il suffit de se "hasarder" un peu en marchant pour découvrir cette réserve naturelle.

Qui a dit que Bruxelles n'est pas une capitale verte ?

Je vous remercie pour votre fidélité et répondrai mardi à tous les commentaires que vous m'avez laissés.

Bonne journée à toutes et à tous,

Amitiés,

Cathy.

POURQUOI CHERCHER PLUS LOIN ?

Symbole de la vie, par ton omniprésence,

Ton empreinte tu laisses, et sans extravagance,

Tu offres tes secrets, sans jamais rien attendre,

A souhaits tu enchantes, comment peux-tu comprendre,

Les esprits s’affirmant, en « nobles » précurseurs,

Persuadés d’avoir, découvert tes valeurs,

Exploitant à souhait, les bas-fonds de ton âme,

Au lieu de te soigner, ils provoquent des drames.

Mais s’ils posaient sur toi, un regard enjôleur,

Pourraient-ils percevoir, richesses et faveurs,

A portée de leurs mains, en mode naturel,

Tes précieux atours, beautés qui ensorcellent.

Comment puis-je leur dire, d’accepter tes cadeaux,

Sans chercher à vouloir, en trouver de plus beaux,

Toi qui n’es que merveilles, pureté et douceur,

Innocente nature, je défends tes couleurs.

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                                                                                   Cathy, le 11 Mai 2012 ©

L’UNION DE DEUX AMANTS

Elle peint à merveille, douce Dame Nature,

Elle vient nous combler, de sa fraîche verdure,

Où frêles fleurs des champs, d’allure sauvageonne,

Provoquent pulsions, telles qu’on en frissonne.

Le ciel en ce printemps, tire sa révérence,

Adapte ses couleurs, redouble d’élégance,

Allant jusqu’à s’unir, à la terre nouvelle,

Déployant sous nos yeux, sa beauté éternelle.

Du lever du soleil, jusque dans la pénombre,

Timide volupté, se dégage des ombres,

Et l’horizon profile, les magiques atours,

D’une belle princesse, aux doux yeux de velours.

Si Eole détient, d’un souffle le pouvoir,

De s’imposer aussi, il ne pourra surseoir,

A l’union sacrée, de ces deux éléments,

Et à l’amour divin, qu’expriment ces amants.

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                                                                                      Cathy, le 16 Avril 2012 ©

(Je tiens à remercier Marie pour toutes les images qu'elle m'adresse

et qui illustrent mon blog très fréquemment maintenant)

VERTUS D’UNE COCCINELLE

Petit coléoptère, on te fixe des yeux,

Personne n’oserait, mettre fin à tes jours,

Flambante robe rouge, est ton plus bel atour,

On te donne pour nom, « la bête à bon Dieu ».

Partout où l’on te voit, tu sembles si paisible,

Comment imaginer, qu’en dehors des maisons,

Aller anéantir, autant de pucerons,

Relève de ton œuvre, long travail invisible.

Dégageant les jardins, et préservant les fleurs,

Coccinelle tu es, maintenant cultivée,

Tes points noirs jusqu’à sept, sont les plus recherchés,

Car de l’écologie, tu fus le précurseur.

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                                                                               Cathy, le 23 Mars 2012 ©

                                                (La coccinelle peut avaler jusqu'à 150 pucerons par jour)