MYSTERIEUSE NAISSANCE D’UNE POESIE
C’est bien à l’infini, que je dois mes pensées,
C’est bien de l’horizon, que surgissent mes mots,
Si mes idées défilent, au long d’une journée,
L’abysse de la nuit, restera mon berceau.
Si le satin des draps, est une belle page,
Je ne puis y livrer, que rêves d’une nuit,
Qu’avec soin il conserve, comme un livre d’images,
En attendant le jour, où rimes je construis.
Poèmes de nature, à soulager mon cœur,
Ou d’autres paraissant, mon énigme du soir,
Ne me demandez pas, d’où me vient cette ardeur,
Ma plume doucement, vous écrit dans le noir.
Mais elle sait ainsi, éclairer mon esprit,
L’atmosphère si douce, que je perçois alors,
Brode un tissu de mots, pareil à l’organdi,
C’est bien de tout cela, que naît ce corps à corps.
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Cathy, le 23 Novembre 2011 ©